Florilège OSS 117 - Rio

Mon florilège, juste pour le plaisir, de ce film au mauvais goût parfois si bien (dé)placé qu'il percute à la fois sous la ceinture et au-delà du raisonnable.

OSS 117 apprend que le père Noël n'existe pas :

OSS 117 : Mais enfin Armand, le Général de Gaulle n'a-t-il pas dit que toute la France avait été résistante ?
Armand : En effet, il l'a dit.
OSS 117 : ...
Armand (l'air navré) : Il l'a dit.
OSS 117 : ...
Armand (l'air encore plus navré) : Eh oui...

Le meilleur moment, de loin, nous prend par surprise :

Dolores : Comment vous appelez un pays qui a pour président un militaire avec les pleins pouvoirs, une police secrète, une seule chaîne de télévision et dont toute l'information est contrôlée par l'état ?
OSS 117, se retournant brusquement et regardant Dolores droit dans les yeux : J'appelle ça la France, Mademoiselle. Et pas n'importe laquelle : la France du Général de Gaulle.

OSS 117, quand le jeune allemand lui dit qu'il hait son père, ancien nazi :

Non mais oh ! Comment tu parles de ton père ?

OSS 117 s'adresse au cercle de hippies assemblés autour de lui :

C'est le vrai monde dehors. Et le vrai monde, il va chez le coiffeur. Déjà.

Avisant un portrait dédicacé d'Hitler :

Hitler ! Je déteste ce type.

Dolorès "ne sait comment remercier" OSS 117 d'avoir empêché le nazi de se suicider :

C'est ma fierté qu'une israélienne me remercie d'avoir sauvé la vie d'un nazi.